“85 % des places gratuites à durée illimitée sont occupées majoritairement par des navetteurs qui pénalisent l’accessibilité des usagers de courte durée, notamment les clients des commerces du centre-ville.”
Cette phrase est extraite du document que vous avez reçu dans vos boîtes aux lettres l’an dernier. Elle est révélatrice de l’un des défis majeurs du futur plan de mobilité de notre ville.
Sans la création d’un accès routier à cette gare en venant d’Hennuyères, d’Henripont et de Ronquières et sans un accroissement très important de places de stationnement au même endroit, le plan de mobilité nous semble bien compromis.
Que veulent les navetteurs motorisés qui sont pointés du doigt ?
Un accès rapide et aisé où ils pourront déposer leur véhicule en toute sécurité et continuer ensuite leur route vers leur lieu de travail. En effet, ce n’est pas pour faire du shopping à Bruxelles que ces navetteurs sont obligés de prendre leur véhicule, c’est pour leur travail.
Alors, on prend les paris ? Une place de stationnement derrière la gare avant ma retraite ? Il nous reste quinze ans …