Malgré les aides et bonne volonté de la Ville, de la Province et particulièrement l’intervention efficace du ministre wallon de l‘Agriculture et de l’Environnement, Benoît Lutgen, cinq raisons nous permettent d’établir un état des lieux profondément préoccupant:
- Depuis la sortie de la zone d’activités économiques des Tuileries la pollution est toujours « lourdement existante » (points d’eau, bords et ruisseau, étangs du Coeurq à Tubize, etc.)
- A ce stade, la querelle stérile de certains -PCB ou dioxines- est ridicule quand on prend connaissance des études, aux résultats catastrophiques, de la Spaque ou des déclarations de la Police de l’environnement.
- A ce jour, la régularisation des entreprises dans le site n’est pas terminée… aux dires même de l’échevin brainois de l’environnement dans une communication à la presse ce 9 janvier écoulé.
- Le site lui-même, qui doit se conformer aux exigences administratives des pouvoirs de tutelle, est l’objet de l’attention critique du comité des Anciennes Tuileries.
- L’exploitation agricole, touchée par la pollution et première victime, est toujours sans décision définitive (plus de 200 bovins nourris à perte !). Il y a prés de DIX MOIS que l’AFSCA (Agence Fédérale pour la sécurité de la Chaîne Alimentaire) a interdit la vente de la viande et du lait.
IL FAUT QUE CES SITUATIONS CESSENT !